Il n'a pas regardé avant de traverser la rue, le petit écureuil. Maintenant, il git au milieu de la rue, les entrailles aux vents.
Elle se délecte, la corneille. Tire, sur les viscères, picosse du bec, tire, relève la tête et avale, avale goulument.
À la fenêtre, la chat roux se pourlèche, vert de jalousie.
dimanche 17 mai 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire